Dégustez une cuisine japonaise authentique et décontractée chez SHARI à Ginza

06.October.2019 | FEATURES / FOOD

SHARI est un restaurant situé au deuxième étage du Mitsui Garden Hotel Ginza-gochome, un nouvel hôtel ouvert depuis le 26 septembre situé à quelques minutes à pied des gares de Ginza et de Higashi-Ginza.

Ce restaurant sert une cuisine authentique et raffinée de style japonais, ainsi que du bœuf de luxueux de Kobe, des plats au style gozen, avec plusieurs petits plats, et bien plus encore.

Ginza est connu pour être un quartier cher et huppé de Tokyo. Les prix des restaurants y sont donc naturellement plutôt élevés mais chez SHARI, les clients peuvent déguster une bonne cuisine japonaise de manière plus décontractée et à des prix beaucoup plus abordables.

Le restaurant contient une petite salle nommée Teppanyaki Mitaki, où vous pourrez savourer du bœuf de Kobé, un type de bœuf wagyu et l’un des trois meilleurs bœufs au Japon.

SHARI Gozen – 3 000 ¥ (hors taxes)

Voici le SHARI Gozen qui est servi durant le déjeuner. Cet ensemble comprend six petits bols contenant avec des aliments colorés. Ceci est parfait pour goûter à un grand nombre de spécialités en une fois !

Il y a beaucoup de choix dans les variétés de viande et de poisson. Vous pourrez goûter au bœuf local, fondant en bouche, et des sashimis de poissons qui changent selon les saisons.

Il y a également des plats frits, mijotés, de poissons froids, du riz, de la soupe miso, des desserts et bien plus encore. Peu importe ce que vous commandez, vous en ressortirez rassasié !

 

Lady Gozen – 2 600 ¥ (hors taxes)

Le Lady Gozen est pour vous si vous préférez le poisson et les légumes. Il y a deux variétés de sashimi et un poisson frit, ainsi qu’un assortiment de plats frits, une crème aux œufs salée et quatre plats d’accompagnement.

Il est également accompagné de riz parfumé et de makis, ainsi que d’un dessert comme le SHARI Gozen.

Le menu du dîner est composé de plats japonais, notamment de sashimis, tempuras, plats frits, etc. Il existe également diverses formules comme le Teppanyaki Mitaki, proposé à partir de 12 000 ¥, uniquement composé d’ingrédients de haute qualité.

 

Shu – 1 000 ¥ (hors taxes)

Voici un cocktail pour ceux qui veulent profiter de Tokyo de nuit. Il est inspiré des couleurs utilisées dans le théâtre kabuki ― un Bloody Mary combinant shichimi (poivre japonais), nihonshu (sahé) et jus de tomate. Le bord du verre est garni de shichimi pour une touche épicée et rafraîchissante lorsque vous le sirotez.

Admirez également ce joli verre traditionnel.

 

Des déjeuners abordables aux dîners composés d’ingrédients de première qualité, SHARI peut être apprécié toute la journée avec sa gamme de menus variée. Assurez-vous d’ aller pour sa cuisine japonaise authentique dans le quartier luxueux de Ginza.

 

 

Writer:Sayuri Mizuno(MOSHI MOSHI NIPPON)

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    Candidat du milieu : WANG Wei Ping, vainqueur du concours

     Le plat réalisé par le gagnant Wang Wei Ping

    Le premier jour, les chefs ont utilisé les mêmes ingrédients pour créer un "nimonowan". Le deuxième jour, ils ont créé leurs propres plats originaux en utilisant cinq ingrédients ou plus qu'ils ont présenté sur un plateau japonais appelé "hangetsubon". En réaction à sa victoire, Wang Wei Ping a déclaré : "Je remercie le propriétaire ainsi que les autres membres de mon restaurant. Après mon retour à Shanghai, je voudrais continuer à transmettre l'excellence de la cuisine japonaise, à la fois saine et savoureuse."

    Finalistes

    Hong-Kong

    Première place : WANG Wei Ping (Chine, SOLEIL with AQUA JAPANESE DINING SUNTORY)  

    Etats-Unis

    Yael PEET (USA, Fury's) * Le restaurant ouvrira cet été.  

    Paris

    Wojciech POPOW (Pologne, Beaverbrook)  

    Saint-Sébastien

    Mireia FARNÓS ESPUNY (Espagne, Basque Culinary Center)  

    Singapour

    Loh Man HONG (Singapour, FAT COW)  

    Juges:

    - Juge en chef : M. Yoshihiro MURATA (Président de la Japanese Culinary Academy, propriétaire et chef de Kikunoi, ambassadeur de la diffusion de la cuisine japonaise) - Juge en chef adjoint : M. Masahiro NAKATA (Directeur de Taiwa Gakuen Education Inc. Président du Kyoto Culinary Art College) - Juge : M. Hideaki MATSUO (Propriétaire de Japanese Cuisine KASHIWAYA, ambassadeur de la diffusion de la cuisine japonaise) - Juge spécial : Yoshio KOJIMA (Comédien)
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    [1ère place] Cuisine par Wojciech Popow

    [2e place] Cuisine de Tamas Nazai

    [3e place] Cuisine de Joe Kimura Downie

    Le plat de Micaela Giambanco

    Le plat de Nageeb Fayzian

      J'ai ressenti l'élégance et la beauté délicate de la cuisine japonaise qui rappelle les quatre saisons et plus précisément l’"automne" par le choix des ingrédients. Bien qu’ils soient étrangers à la culture japonaise, ce concours témoigne de leur appropriation culturelle par leur grande maîtrise des techniques culinaires ancestrales du Japon.   Takenaka membre du jury, a commenté la cuisine de Wojciech Popow. "Tout d'abord, je pense que plus important est l'attitude du cuisinier. La façon de traiter les ingrédients. Le respect des ingrédients lors de la préparation des plats, signifie que l’on veut faire déguster au client le meilleur de leurs saveurs. Son plat n’était pas trop fort, mais son assaisonnement, la présentation et l'utilisation de couleurs et des parfums étaient exceptionnellement délicats par rapport aux autres joueurs. C’était un concentré de respect pour la « cuisine japonaise ». J’ai ressenti une douceur paternelle qui s’est transmise dans son plat. Impressionnant. "   Il semblerait que son attitude en cuisine ait été le facteur qui l’a conduit vers la victoire. En plus du tournoi de qualification, des cours de cuisine japonaise et une démonstration culinaire ont eu lieu ce jour-là.   Hayashi fut en charge des cours de cuisine et enseigna les charmes des plats japonais qui tirent le meilleur parti des ingrédients saisonniers. Il y eu une discussion sur l'umami, les techniques de cuisson, l'hygiène et d'autres connaissances basiques des cuisiniers japonais.   Pour la démonstration de cuisine, M. Hayashi et M. Takenaka ont cuisiné un « riz aux champignons de saison » et un « jibuni de canard ». Le canard a d’abord été cuit dans une poêle pour réduire la graisse, et l'odeur douce et riche s'est instantanément propagée dans la pièce. Le Jibuni qui est un type de ragoût tient apparemment ses racines du mot français « gibier ». Voici les plats terminés ! L'odeur du riz cuit aux champignons est exquise. Le canard légèrement frit avec de la fécule a une texture intéressante qui retient le parfum et le goût à l’intérieur de la viande. Le mélange sucré salé de la sauce accentue la douceur du canard et constitue un parfait mélange de saveurs. Ce plat était en parfaite harmonie avec le riz aux champignons qui nous rappelle la forêt d’automne. Enfin, la finale à Tokyo sera défiée par six chefs issus de chaque tournoi de qualification. Soutenez les joueurs par tous les moyens ! De nombreux chefs français ont également acquis de hautes compétences en cuisine japonaise. Espérons-leur du succès à l'avenir.
  • Découvrez des plats et pâtisseries françaises à base d’ingrédients japonais ! Evénement “Taste of Japan in Paris ~Trends in Japanese Cuisine~”

    27.December.2019 | FEATURES / FOOD

    “Le Purgatoire 54” est un open space spécial du 10ème arrondissement de Paris qui se concentre sur l'art contemporain et la gastronomie. Le propriétaire dispose d'un grand espace de cuisine au sous-sol, indispensable pour organiser des événements culinaires.

    Le 4 novembre 2019, le ministère de l'Agriculture, des Forêts et des Pêches du Japon a organisé un événement sur la cuisine japonaise : « Le goût du Japon à Paris - Tendances de la cuisine japonaise », dans ce merveilleux établissement. Lors de cet événement, des chefs et des pâtissiers ont cuisiné des plats japonais, français et des confiseries à partir d'ingrédients japonais disponibles en France. À travers quelques ateliers culinaires, ils enseignent l’attrait et l’utilisation des ingrédients japonais aux visiteurs Français.   Nous avons pu assister aux démonstrations du chef Tetsuo Takenaka, chargé de la cuisine japonaise, Ryuji Teshima, chef français et du chef pâtissier Ishihara Mikiko. Tout d’abord, le chef Takenaka a présenté une préparation de soupe de miso blanc et d’un bœuf wagyu cuit au kôji (aspergillus) salé. Cet homme est le 3 ème chef du restaurant gastronomique « Kyoto Seiwaso » et participe à divers événements à l’étranger pour faire connaître « l’attrait de la cuisine japonaise » aux étrangers. « La base de la cuisine japonaise est le dashi (bouillon) » dit-il. Puis, il fit goûter aux Français un bouillon uniquement infusé d’algue kombu et de bonite séchée. Les visiteurs s’exclament : « Délicieux ! », « c’est subtil ». Selon le chef Takenaka, les étrangers qui ne connaissent pas le dashi commencent à apprécier son goût car de plus en plus de plats japonais s’infiltrent en dehors de ses frontières et les étrangers sont plus familiers à cette saveur. Pour preuve, il expliqua qu’il avait effectué la même expérience il y a douze ans dans une école de cuisine française, mais que le dashi n’avait pas remporté un franc succès. La soupe de miso blanc, très ronde en bouche, se marie à merveille avec la légère amertume des épinards.   Voici à présent le bœuf Wagyu grillé au kôji. C’est est un champignon fermenté à partir de céréales. Il contient des enzymes en abondance ce qui lui donne des propriétés sur le plan de la santé. Lorsque le chef Takenaka termina la préparation en ajoutant des épices... Le public est absorbé par la graisse luisante de la viande et l’odeur qui s’en dégage ! La bouchée fond instantanément en bouche.   Ensuite, le chef français Tatsuji Teshima présenta : une ballotine de bœuf japonais aux champignons shiitake, Lait fermenté, Gelée de jabara et Ravioli au Fromage de Comté et au miso Saïkyo. Passionné de cuisine française, le chef Teshima s’est rendu en France à l’âge de 26 ans. Son restaurant PAGES situé près de l'Arc de Triomphe dans le 16ème arrondissement a remporté une étoile Michelin en un an et demi.   Sa cuisine est un « mariage » franco-japonais inédit. Outre les ingrédients souvent utilisés dans la cuisine japonaise, nous pouvons voir dans l’espace de cuisine du fromage français, de la crème fraîche ou encore de la ciboulette. Là, un récipient contenant un liquide vert foncé attira l’œil. Quelqu’un demanda : « Qu'est-ce que c'est ? ». Le chef répondit de l’huile de pépin de raisin aux algues vertes. N’ayant ni de parfum, ni de goût particulier, cette huile peut facilement être mélangée à d’autres aliments pour lui donner une saveur particulière. Le chef Teshima mit le miso saikyo sur le feu pour le griller légèrement. Un doux parfum s’en dégage et ouvre l'appétit ! Notre curiosité grandit.   En un rien de temps, le chef a préparé un menu spécialement conçu pour l’événement. Un bœuf wagyu luisant de graisse parsemé de ciboulette fraîche. L’odeur du poivre du Sichuan s’en dégage. En bouche, nous pouvons également le goût prononcé des champignons shiitake à la sauce mascarpone et lait ribot. Il se consomme aussi bien avec du saké que du vin. Les raviolis ont une jolie forme de bateau. Fraîchement préparés, ils sont tous chauds à l'intérieur. La crème parfumée au comté et au miso grillé embaume la pièce et constitue un parfait mariage franco-japonais !   La dernière démonstration était particulièrement attendue pour les amateurs de desserts. La chef pâtissière Ishihara a fait la démonstration de 4 recettes ! Elle a remporté une étoile Michelin en 2017 en tant que chef pâtissier au restaurant Palais Royal du 1e arrondissement. En outre, elle travaille au Crowne Plaza Paris depuis 2019.   Une panna cotta au lait de soja, un gâteau au matcha, une rose des sables au granola de riz et une salade de fruit garnie aux agrumes.   Tous ont l'air délicieux. Le public est très curieux des friandises colorées et fruitées du chef. De plus, la tendance healthy et végétalienne du moment apprécie particulièrement l’utilisation du lait de soja. "Je pensais que le goût du lait de soja allait être trop prononcée mais la panna cotta est facile à manger.", "J'aime beaucoup le gâteau au matcha", "Est-ce que la truffe est au soja ? Je suis surpris. C'est très savoureux." Les visiteurs sont épatés.   Ce n'est pas trop sucré et l’amertume du matcha et la douceur du lait de soja constituent un équilibre parfait. De plus, la texture de la panna cotta était onctueuse et elle s’accordait très bien avec le croquant du granola de riz.   Ishihara dit que ces dernières années, de nombreux ingrédients japonais ont été introduits à Paris car suscitent la curiosité de nombreux pâtissier et cuisiniers français. Parmi eux, le "Yuzu" (agrume), le "Matcha" (poudre de thé vert), le "Kurogoma" (sésame noir) et le "Anko" (haricot rouge) sont particulièrement populaires. Peut-être qu’un jour, il vous arrivera de manger des pâtisseries wagashi japonaises dans un restaurant français étoilé ?   Lors de l’événement, il y avait des stands présentant les ingrédients japonais utilisés dans les démonstrations culinaires et d’autres où étaient exposés des épices encore rares à Paris. La société "UMAMI" importe des ingrédients japonais tels que le "Sansho" (poivre du Sichuan), "Shiokoji" et "Shiitake". Les visiteurs ont interrogé les exposants sur les différents ingrédients du stand. Il semblerait que de plus en plus de personnes préparent des plats japonais chez eux et qu’ils soient venus chercher leur bonheur dans ce festival culinaire. Impressionnant ! "LUPICIA Co., LTD." Est une maison de thé réputée à Tokyo mais est également très populaire à Paris. Nous avons demandé quel est le parfum le plus populaire parmi les parisiens. "C'est du thé au sencha ou au riz brun. Le nombre de clients qui recherchent un effet détox ne cesse d’augmenter. Le thé japonais est maintenant familier aux fins palais des Français." "MURASE Co., LTD." Est une entreprise qui fabrique et vend du riz et ses produits dérivés. Là, ils vendent le granola de riz soufflé sans gluten utilisé par la pâtissière Ishihara. Il y avait plusieurs goûts tels que sirop d'érable, bouillon, mais le plus populaire est celui à la poudre de soja !   Il était intéressant de constater cette fois que la « cuisine japonaise » n’est plus une découverte pour les parisiens. N’importe qui connait la « sauce soja » et de nombreuses personnes utilisent désormais le « miso » dans leurs plats. Si l'intérêt des Français pour la cuisine japonaise continue à augmenter, de nouveaux ingrédients typiquement japonais seront introduits ce qui contribuera à faire connaitre la richesse culinaire du pays. A partir de maintenant, nous entrons dans une ère où les Français ne font pas que déguster la cuisine japonaise, mais la préparent eux-mêmes.   <Liste des exposants de l'événement> UMAMI https://www.umamiparis.com/fr/ FOODEX https://www.foodex.fr/ LUPICIA CO., LTD.  http://www.lupicia.fr Takara Food’s CO., Ltd https://www.takara-jp.com/ FUJI OIL HOLDINGS INC.  https://www.fujioilholdings.com/en/ MURASE Co., Ltd.  https://www.murase-group.co.jp/ Sumiya Bunjiro Brewery Co., Ltd.  http://www.mikawamirin.com/en/ HAKKAISAN BREWERY CO., LTD.  https://www.hakkaisan.com/ *   *pour acheter le produit, visitez GALERIE K PARIS https://galeriekparis.com/eshop/ ÔYA Paris-boeuf japonais https://www.oyaparis.eu/
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    Le Grand Hyatt Tokyo, hôtel de luxe de la capitale, domine la ville animée de Tokyo. À partir du 1er octobre, le restaurant de l'hôtel, Shunbou, qui sert une cuisine de style japonais, présente une toute nouvelle portion exquise de TKG, ou tamago kake gohan ("œuf sur riz"). Le plat sera fait avec du shinmai, ou "nouveau riz", qui fait référence au nouveau riz récolté pour l'année en cours. Il est garni d'un œuf très frais, une combinaison simple mais incroyablement délicieuse et appréciée des Japonais. Normalement, TKG s’arrête là, mais le Grand Hyatt Tokyo passe au niveau supérieur avec un nappage de caviar pour créer l’œuf le plus exquis que l’on ait jamais vu sur du riz.   Le riz : le meilleur des meilleurs Le riz servi à l'hôtel est récolté dans la ville de Nanyō, dans la préfecture de Yamagata. C'est un type de riz spécial appelé Tsuyahime, et l'hôtel sélectionne rigoureusement le riz récolté, en s'assurant qu'il sert le meilleur riz possible aux clients. Ce riz est servi uniquement au Grand Hyatt Tokyo, ce qui le rend encore plus spécial.   Nanyō est doté d'un sol riche. Les exploitations agricoles utilisent des engrais organiques depuis plus de 10 ans, ce qui signifie que leurs belles récoltes sont réduites en produits chimiques agricoles et en engrais chimiques, contrairement à de nombreuses autres exploitations agricoles. La valeur de la qualité gustative du riz a également été évaluée à plus de 80, bien plus élevée que le riz moyen.   Caviar d'esturgeon Le caviar utilisé dans ce plat provient de l'esturgeon de la préfecture de Kagawa. Tout est pris en compte, de la nourriture aux températures de l’eau pour les poissons, à partir de leur plus jeune âge. Ils sont assaisonnés avec la quantité de sel idéale et ne contiennent aucun additif, ce qui leur confère un goût et une texture crémeuse et veloutée qui ne fondent que dans la bouche au moment où elle se propage sur la langue.   Jaune d'oeuf supérieur Les œufs servis sur le riz proviennent de l'un des meilleurs magasins spécialisés dans les œufs à Kyoto. Pour assurer un œuf parfait, le magasin prend grand soin du fourrage et de l’eau donnée aux poules dès leur plus jeune âge. Cela supprime l'odeur crue désagréable caractéristique des œufs et constitue également un mode de vie plus sain pour les poulets eux-mêmes. Les œufs regorgent également d'éléments nutritifs qui font défaut chez les hommes d'aujourd'hui, notamment les vitamines, le DHA, la niacine, etc.   Pour couronner le tout, l'hôtel a créé son propre mélange original de sauce soja dashi rien que pour ce plat. Allez vite le goûter !