Un concours de cuisine japonaise « Washoku World Challenge » a été organisé à Paris avec pour thème la texture !

07.January.2020 | FEATURES / FOOD

Le 5 novembre 2019, le tournoi de qualification pour le concours “WASHOKU WORLD CHALLENGE” s’est déroulé à la célèbre école de cuisine parisienne “Le Cordon Bleu”. Ce concours, organisé par le Ministère de l’agriculture des forêts et des pêches du Japon, s’est déroulé pour la septième année consécutive. Il est destiné aux cuisiniers non japonais qui ont un grand intérêt pour la cuisine japonaise et travaillent dur pour améliorer leurs compétences et leurs connaissances. Le tournoi de qualification aura lieu dans un total de six villes qui sont Hong Kong, Singapour, Paris, Las Vegas, San Sebastian et New York. Les finalistes seront invités à la finale à Tokyo les 20 et 21 février 2020.

 

Le thème du concours de cette année est “shokkan – Texture and Mouthfeel”. On dit qu’il y a plus de 400 mots qui expriment la “texture” en japonais, comme “mochi mochi” ou “pali pali”, qui sont des onomatopées pour « moelleux » ou « croustillant ». Les cuisiniers ont donc utilisé différents ingrédients de manière ingénieuse pour faire ressortir les cinq goûts (douceur, salinité, umami, aigreur, amertume) primordiaux dans la cuisine japonaise et la texture qui est le thème du concours.

 

Les juges étaient M. Daisuke Hayashi, vice-président de la Japanese Culinary Academy UK, et M. Tetsuo Takenaka, le troisième propriétaire héritier de “Kyoto Cuisine Seiwaso“. Au total, six participants ont pu concourir après une première sélection sur dossier. Les joueurs ont ainsi usé de leurs talents culinaires pendant 90 minutes. Tous semblaient très déterminés et prêts à montrer à quel point ils sont passionnés de “cuisine japonaise”.

Le but était de créer une recette originale qui utilise les cinq méthodes de cuisine (couper, bouillir, griller, cuire à la vapeur, frire) avec des idées inédites avec les ingrédients désignés par le jury comme les coquilles Saint-Jacques, la citrouille, la carotte, les haricots verts, les radis et les épinards. Les les plats reflétaient tous la créativité et l’expression culinaire du cuisinier.

 

Le grand gagnant fut le Polonais Popow et ira combattre en finale à Tokyo. Voici la liste du classement :

1ère place: Wojciech Popow (Nationalité: Pologne, Affiliation: Beaverbrook)

2e place: Tamas Nazai (Nationalité: Hongrie, Affiliation: Zen-noh Restaurant London Ltd.)

3e place: Joe Kimura Downie (Nationalité: Écosse, Affiliation: Kimura’s Kitchen)

[1ère place] Cuisine par Wojciech Popow

[2e place] Cuisine de Tamas Nazai

[3e place] Cuisine de Joe Kimura Downie

Le plat de Micaela Giambanco

Le plat de Nageeb Fayzian

 

J’ai ressenti l’élégance et la beauté délicate de la cuisine japonaise qui rappelle les quatre saisons et plus précisément l’”automne” par le choix des ingrédients. Bien qu’ils soient étrangers à la culture japonaise, ce concours témoigne de leur appropriation culturelle par leur grande maîtrise des techniques culinaires ancestrales du Japon.

 

Takenaka membre du jury, a commenté la cuisine de Wojciech Popow.

“Tout d’abord, je pense que plus important est l’attitude du cuisinier. La façon de traiter les ingrédients. Le respect des ingrédients lors de la préparation des plats, signifie que l’on veut faire déguster au client le meilleur de leurs saveurs. Son plat n’était pas trop fort, mais son assaisonnement, la présentation et l’utilisation de couleurs et des parfums étaient exceptionnellement délicats par rapport aux autres joueurs. C’était un concentré de respect pour la « cuisine japonaise ». J’ai ressenti une douceur paternelle qui s’est transmise dans son plat. Impressionnant. ”

 

Il semblerait que son attitude en cuisine ait été le facteur qui l’a conduit vers la victoire.

En plus du tournoi de qualification, des cours de cuisine japonaise et une démonstration culinaire ont eu lieu ce jour-là.

 

Hayashi fut en charge des cours de cuisine et enseigna les charmes des plats japonais qui tirent le meilleur parti des ingrédients saisonniers. Il y eu une discussion sur l’umami, les techniques de cuisson, l’hygiène et d’autres connaissances basiques des cuisiniers japonais.

 

Pour la démonstration de cuisine, M. Hayashi et M. Takenaka ont cuisiné un « riz aux champignons de saison » et un « jibuni de canard ». Le canard a d’abord été cuit dans une poêle pour réduire la graisse, et l’odeur douce et riche s’est instantanément propagée dans la pièce. Le Jibuni qui est un type de ragoût tient apparemment ses racines du mot français « gibier ».

Voici les plats terminés ! L’odeur du riz cuit aux champignons est exquise.

Le canard légèrement frit avec de la fécule a une texture intéressante qui retient le parfum et le goût à l’intérieur de la viande. Le mélange sucré salé de la sauce accentue la douceur du canard et constitue un parfait mélange de saveurs. Ce plat était en parfaite harmonie avec le riz aux champignons qui nous rappelle la forêt d’automne.

Enfin, la finale à Tokyo sera défiée par six chefs issus de chaque tournoi de qualification. Soutenez les joueurs par tous les moyens ! De nombreux chefs français ont également acquis de hautes compétences en cuisine japonaise. Espérons-leur du succès à l’avenir.

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    “Le Purgatoire 54” est un open space spécial du 10ème arrondissement de Paris qui se concentre sur l’art contemporain et la gastronomie. Le propriétaire dispose d’un grand espace de cuisine au sous-sol, indispensable pour organiser des événements culinaires.

    Le 4 novembre 2019, le ministère de l’Agriculture, des Forêts et des Pêches du Japon a organisé un événement sur la cuisine japonaise : « Le goût du Japon à Paris – Tendances de la cuisine japonaise », dans ce merveilleux établissement.

    Lors de cet événement, des chefs et des pâtissiers ont cuisiné des plats japonais, français et des confiseries à partir d’ingrédients japonais disponibles en France. À travers quelques ateliers culinaires, ils enseignent l’attrait et l’utilisation des ingrédients japonais aux visiteurs Français.

     

    Nous avons pu assister aux démonstrations du chef Tetsuo Takenaka, chargé de la cuisine japonaise, Ryuji Teshima, chef français et du chef pâtissier Ishihara Mikiko.

    Tout d’abord, le chef Takenaka a présenté une préparation de soupe de miso blanc et d’un bœuf wagyu cuit au kôji (aspergillus) salé.

    Cet homme est le 3 ème chef du restaurant gastronomique « Kyoto Seiwaso » et participe à divers événements à l’étranger pour faire connaître « l’attrait de la cuisine japonaise » aux étrangers.

    « La base de la cuisine japonaise est le dashi (bouillon) » dit-il. Puis, il fit goûter aux Français un bouillon uniquement infusé d’algue kombu et de bonite séchée.

    Les visiteurs s’exclament : « Délicieux ! », « c’est subtil ».

    Selon le chef Takenaka, les étrangers qui ne connaissent pas le dashi commencent à apprécier son goût car de plus en plus de plats japonais s’infiltrent en dehors de ses frontières et les étrangers sont plus familiers à cette saveur.

    Pour preuve, il expliqua qu’il avait effectué la même expérience il y a douze ans dans une école de cuisine française, mais que le dashi n’avait pas remporté un franc succès.

    La soupe de miso blanc, très ronde en bouche, se marie à merveille avec la légère amertume des épinards.

     

    Voici à présent le bœuf Wagyu grillé au kôji. C’est est un champignon fermenté à partir de céréales. Il contient des enzymes en abondance ce qui lui donne des propriétés sur le plan de la santé.

    Lorsque le chef Takenaka termina la préparation en ajoutant des épices… Le public est absorbé par la graisse luisante de la viande et l’odeur qui s’en dégage !

    La bouchée fond instantanément en bouche.

     

    Ensuite, le chef français Tatsuji Teshima présenta : une ballotine de bœuf japonais aux champignons shiitake, Lait fermenté, Gelée de jabara et Ravioli au Fromage de Comté et au miso Saïkyo.

    Passionné de cuisine française, le chef Teshima s’est rendu en France à l’âge de 26 ans. Son restaurant PAGES situé près de l’Arc de Triomphe dans le 16ème arrondissement a remporté une étoile Michelin en un an et demi.

     

    Sa cuisine est un « mariage » franco-japonais inédit.

    Outre les ingrédients souvent utilisés dans la cuisine japonaise, nous pouvons voir dans l’espace de cuisine du fromage français, de la crème fraîche ou encore de la ciboulette.

    Là, un récipient contenant un liquide vert foncé attira l’œil.

    Quelqu’un demanda : « Qu’est-ce que c’est ? ». Le chef répondit de l’huile de pépin de raisin aux algues vertes. N’ayant ni de parfum, ni de goût particulier, cette huile peut facilement être mélangée à d’autres aliments pour lui donner une saveur particulière.

    Le chef Teshima mit le miso saikyo sur le feu pour le griller légèrement.

    Un doux parfum s’en dégage et ouvre l’appétit !

    Notre curiosité grandit.

     

    En un rien de temps, le chef a préparé un menu spécialement conçu pour l’événement.

    Un bœuf wagyu luisant de graisse parsemé de ciboulette fraîche.

    L’odeur du poivre du Sichuan s’en dégage.

    En bouche, nous pouvons également le goût prononcé des champignons shiitake à la sauce mascarpone et lait ribot. Il se consomme aussi bien avec du saké que du vin.

    Les raviolis ont une jolie forme de bateau. Fraîchement préparés, ils sont tous chauds à l’intérieur. La crème parfumée au comté et au miso grillé embaume la pièce et constitue un parfait mariage franco-japonais !

     

    La dernière démonstration était particulièrement attendue pour les amateurs de desserts.

    La chef pâtissière Ishihara a fait la démonstration de 4 recettes !

    Elle a remporté une étoile Michelin en 2017 en tant que chef pâtissier au restaurant Palais Royal du 1e arrondissement. En outre, elle travaille au Crowne Plaza Paris depuis 2019.

     

    Une panna cotta au lait de soja, un gâteau au matcha, une rose des sables au granola de riz et une salade de fruit garnie aux agrumes.

     

    Tous ont l’air délicieux.

    Le public est très curieux des friandises colorées et fruitées du chef.

    De plus, la tendance healthy et végétalienne du moment apprécie particulièrement l’utilisation du lait de soja.

    “Je pensais que le goût du lait de soja allait être trop prononcée mais la panna cotta est facile à manger.”, “J’aime beaucoup le gâteau au matcha”, “Est-ce que la truffe est au soja ? Je suis surpris. C’est très savoureux.” Les visiteurs sont épatés.

     

    Ce n’est pas trop sucré et l’amertume du matcha et la douceur du lait de soja constituent un équilibre parfait. De plus, la texture de la panna cotta était onctueuse et elle s’accordait très bien avec le croquant du granola de riz.

     

    Ishihara dit que ces dernières années, de nombreux ingrédients japonais ont été introduits à Paris car suscitent la curiosité de nombreux pâtissier et cuisiniers français. Parmi eux, le “Yuzu” (agrume), le “Matcha” (poudre de thé vert), le “Kurogoma” (sésame noir) et le “Anko” (haricot rouge) sont particulièrement populaires.

    Peut-être qu’un jour, il vous arrivera de manger des pâtisseries wagashi japonaises dans un restaurant français étoilé ?

     

    Lors de l’événement, il y avait des stands présentant les ingrédients japonais utilisés dans les démonstrations culinaires et d’autres où étaient exposés des épices encore rares à Paris.

    La société “UMAMI” importe des ingrédients japonais tels que le “Sansho” (poivre du Sichuan), “Shiokoji” et “Shiitake”.

    Les visiteurs ont interrogé les exposants sur les différents ingrédients du stand.

    Il semblerait que de plus en plus de personnes préparent des plats japonais chez eux et qu’ils soient venus chercher leur bonheur dans ce festival culinaire. Impressionnant !

    LUPICIA Co., LTD.” Est une maison de thé réputée à Tokyo mais est également très populaire à Paris.

    Nous avons demandé quel est le parfum le plus populaire parmi les parisiens.

    “C’est du thé au sencha ou au riz brun. Le nombre de clients qui recherchent un effet détox ne cesse d’augmenter. Le thé japonais est maintenant familier aux fins palais des Français.”

    MURASE Co., LTD.” Est une entreprise qui fabrique et vend du riz et ses produits dérivés. Là, ils vendent le granola de riz soufflé sans gluten utilisé par la pâtissière Ishihara. Il y avait plusieurs goûts tels que sirop d’érable, bouillon, mais le plus populaire est celui à la poudre de soja !

     

    Il était intéressant de constater cette fois que la « cuisine japonaise » n’est plus une découverte pour les parisiens. N’importe qui connait la « sauce soja » et de nombreuses personnes utilisent désormais le « miso » dans leurs plats.

    Si l’intérêt des Français pour la cuisine japonaise continue à augmenter, de nouveaux ingrédients typiquement japonais seront introduits ce qui contribuera à faire connaitre la richesse culinaire du pays.

    A partir de maintenant, nous entrons dans une ère où les Français ne font pas que déguster la cuisine japonaise, mais la préparent eux-mêmes.

     

    <Liste des exposants de l’événement>

    UMAMI https://www.umamiparis.com/fr/

    FOODEX https://www.foodex.fr/

    LUPICIA CO., LTD.  http://www.lupicia.fr

    Takara Food’s CO., Ltd https://www.takara-jp.com/

    FUJI OIL HOLDINGS INC.  https://www.fujioilholdings.com/en/

    MURASE Co., Ltd.  https://www.murase-group.co.jp/

    Sumiya Bunjiro Brewery Co., Ltd.  http://www.mikawamirin.com/en/

    HAKKAISAN BREWERY CO., LTD.  https://www.hakkaisan.com/ *

     

    *pour acheter le produit, visitez GALERIE K PARIS https://galeriekparis.com/eshop/

    ÔYA Paris-boeuf japonais https://www.oyaparis.eu/

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  • Wang Wei Ping remporte la 7ème édition du concours de cuisine Washoku World Challenge

    03.March.2020 | FOOD

    La finale de la 7ème édition du concours de cuisine « Washoku World Challenge » a eu lieu à Tokyo les 20 et 21 février, et c’est le chef chinois du Sun With Aqua Japanese Dining Suntory, WANG Wei Ping, qui l’emporta.

    L’événement s’est étalé sur deux jours et a réuni cinq chefs venant de Hong Kong, Singapour, Paris, Donostia-San Sebastian et New York. Les chefs ont confronté leurs compétences en créant des plats sur le thème principal du concours “Umami” ainsi que sur le thème de cette année de “texture et sensation en bouche.”

    Les juges ont déclaré : “Cette 7 ème édition démontre que le niveau technique des finalistes continue de s’améliorer chaque année. Créer des plats japonais qui intègrent les caractéristiques et les idées uniques des cultures culinaires d’autres pays, tout en respectant les fondamentaux de la cuisine japonaise construits sur le concept de l’umami, élargit le potentiel de la cuisine japonaise. Les créations de chacun des finalistes incarnent cette notion. ”

    Candidat du milieu : WANG Wei Ping, vainqueur du concours

     Le plat réalisé par le gagnant Wang Wei Ping

    Le premier jour, les chefs ont utilisé les mêmes ingrédients pour créer un “nimonowan”. Le deuxième jour, ils ont créé leurs propres plats originaux en utilisant cinq ingrédients ou plus qu’ils ont présenté sur un plateau japonais appelé “hangetsubon”.

    En réaction à sa victoire, Wang Wei Ping a déclaré : “Je remercie le propriétaire ainsi que les autres membres de mon restaurant. Après mon retour à Shanghai, je voudrais continuer à transmettre l’excellence de la cuisine japonaise, à la fois saine et savoureuse.”


    Finalistes

    Hong-Kong

    Première place : WANG Wei Ping (Chine, SOLEIL with AQUA JAPANESE DINING SUNTORY)

     

    Etats-Unis

    Yael PEET (USA, Fury’s) * Le restaurant ouvrira cet été.

     

    Paris

    Wojciech POPOW (Pologne, Beaverbrook)

     

    Saint-Sébastien

    Mireia FARNÓS ESPUNY (Espagne, Basque Culinary Center)

     

    Singapour

    Loh Man HONG (Singapour, FAT COW)

     

    Juges:

    – Juge en chef : M. Yoshihiro MURATA
    (Président de la Japanese Culinary Academy, propriétaire et chef de Kikunoi, ambassadeur de la diffusion de la cuisine japonaise)
    – Juge en chef adjoint : M. Masahiro NAKATA (Directeur de Taiwa Gakuen Education Inc. Président du Kyoto Culinary Art College)
    – Juge : M. Hideaki MATSUO (Propriétaire de Japanese Cuisine KASHIWAYA, ambassadeur de la diffusion de la cuisine japonaise)
    – Juge spécial : Yoshio KOJIMA (Comédien)

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    Nous avons pu assister aux démonstrations du chef Tetsuo Takenaka, chargé de la cuisine japonaise, Ryuji Teshima, chef français et du chef pâtissier Ishihara Mikiko.

    Tout d’abord, le chef Takenaka a présenté une préparation de soupe de miso blanc et d’un bœuf wagyu cuit au kôji (aspergillus) salé.

    Cet homme est le 3 ème chef du restaurant gastronomique « Kyoto Seiwaso » et participe à divers événements à l’étranger pour faire connaître « l’attrait de la cuisine japonaise » aux étrangers.

    « La base de la cuisine japonaise est le dashi (bouillon) » dit-il. Puis, il fit goûter aux Français un bouillon uniquement infusé d’algue kombu et de bonite séchée.

    Les visiteurs s’exclament : « Délicieux ! », « c’est subtil ».

    Selon le chef Takenaka, les étrangers qui ne connaissent pas le dashi commencent à apprécier son goût car de plus en plus de plats japonais s’infiltrent en dehors de ses frontières et les étrangers sont plus familiers à cette saveur.

    Pour preuve, il expliqua qu’il avait effectué la même expérience il y a douze ans dans une école de cuisine française, mais que le dashi n’avait pas remporté un franc succès.

    La soupe de miso blanc, très ronde en bouche, se marie à merveille avec la légère amertume des épinards.

     

    Voici à présent le bœuf Wagyu grillé au kôji. C’est est un champignon fermenté à partir de céréales. Il contient des enzymes en abondance ce qui lui donne des propriétés sur le plan de la santé.

    Lorsque le chef Takenaka termina la préparation en ajoutant des épices… Le public est absorbé par la graisse luisante de la viande et l’odeur qui s’en dégage !

    La bouchée fond instantanément en bouche.

     

    Ensuite, le chef français Tatsuji Teshima présenta : une ballotine de bœuf japonais aux champignons shiitake, Lait fermenté, Gelée de jabara et Ravioli au Fromage de Comté et au miso Saïkyo.

    Passionné de cuisine française, le chef Teshima s’est rendu en France à l’âge de 26 ans. Son restaurant PAGES situé près de l’Arc de Triomphe dans le 16ème arrondissement a remporté une étoile Michelin en un an et demi.

     

    Sa cuisine est un « mariage » franco-japonais inédit.

    Outre les ingrédients souvent utilisés dans la cuisine japonaise, nous pouvons voir dans l’espace de cuisine du fromage français, de la crème fraîche ou encore de la ciboulette.

    Là, un récipient contenant un liquide vert foncé attira l’œil.

    Quelqu’un demanda : « Qu’est-ce que c’est ? ». Le chef répondit de l’huile de pépin de raisin aux algues vertes. N’ayant ni de parfum, ni de goût particulier, cette huile peut facilement être mélangée à d’autres aliments pour lui donner une saveur particulière.

    Le chef Teshima mit le miso saikyo sur le feu pour le griller légèrement.

    Un doux parfum s’en dégage et ouvre l’appétit !

    Notre curiosité grandit.

     

    En un rien de temps, le chef a préparé un menu spécialement conçu pour l’événement.

    Un bœuf wagyu luisant de graisse parsemé de ciboulette fraîche.

    L’odeur du poivre du Sichuan s’en dégage.

    En bouche, nous pouvons également le goût prononcé des champignons shiitake à la sauce mascarpone et lait ribot. Il se consomme aussi bien avec du saké que du vin.

    Les raviolis ont une jolie forme de bateau. Fraîchement préparés, ils sont tous chauds à l’intérieur. La crème parfumée au comté et au miso grillé embaume la pièce et constitue un parfait mariage franco-japonais !

     

    La dernière démonstration était particulièrement attendue pour les amateurs de desserts.

    La chef pâtissière Ishihara a fait la démonstration de 4 recettes !

    Elle a remporté une étoile Michelin en 2017 en tant que chef pâtissier au restaurant Palais Royal du 1e arrondissement. En outre, elle travaille au Crowne Plaza Paris depuis 2019.

     

    Une panna cotta au lait de soja, un gâteau au matcha, une rose des sables au granola de riz et une salade de fruit garnie aux agrumes.

     

    Tous ont l’air délicieux.

    Le public est très curieux des friandises colorées et fruitées du chef.

    De plus, la tendance healthy et végétalienne du moment apprécie particulièrement l’utilisation du lait de soja.

    “Je pensais que le goût du lait de soja allait être trop prononcée mais la panna cotta est facile à manger.”, “J’aime beaucoup le gâteau au matcha”, “Est-ce que la truffe est au soja ? Je suis surpris. C’est très savoureux.” Les visiteurs sont épatés.

     

    Ce n’est pas trop sucré et l’amertume du matcha et la douceur du lait de soja constituent un équilibre parfait. De plus, la texture de la panna cotta était onctueuse et elle s’accordait très bien avec le croquant du granola de riz.

     

    Ishihara dit que ces dernières années, de nombreux ingrédients japonais ont été introduits à Paris car suscitent la curiosité de nombreux pâtissier et cuisiniers français. Parmi eux, le “Yuzu” (agrume), le “Matcha” (poudre de thé vert), le “Kurogoma” (sésame noir) et le “Anko” (haricot rouge) sont particulièrement populaires.

    Peut-être qu’un jour, il vous arrivera de manger des pâtisseries wagashi japonaises dans un restaurant français étoilé ?

     

    Lors de l’événement, il y avait des stands présentant les ingrédients japonais utilisés dans les démonstrations culinaires et d’autres où étaient exposés des épices encore rares à Paris.

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    Les visiteurs ont interrogé les exposants sur les différents ingrédients du stand.

    Il semblerait que de plus en plus de personnes préparent des plats japonais chez eux et qu’ils soient venus chercher leur bonheur dans ce festival culinaire. Impressionnant !

    LUPICIA Co., LTD.” Est une maison de thé réputée à Tokyo mais est également très populaire à Paris.

    Nous avons demandé quel est le parfum le plus populaire parmi les parisiens.

    “C’est du thé au sencha ou au riz brun. Le nombre de clients qui recherchent un effet détox ne cesse d’augmenter. Le thé japonais est maintenant familier aux fins palais des Français.”

    MURASE Co., LTD.” Est une entreprise qui fabrique et vend du riz et ses produits dérivés. Là, ils vendent le granola de riz soufflé sans gluten utilisé par la pâtissière Ishihara. Il y avait plusieurs goûts tels que sirop d’érable, bouillon, mais le plus populaire est celui à la poudre de soja !

     

    Il était intéressant de constater cette fois que la « cuisine japonaise » n’est plus une découverte pour les parisiens. N’importe qui connait la « sauce soja » et de nombreuses personnes utilisent désormais le « miso » dans leurs plats.

    Si l’intérêt des Français pour la cuisine japonaise continue à augmenter, de nouveaux ingrédients typiquement japonais seront introduits ce qui contribuera à faire connaitre la richesse culinaire du pays.

    A partir de maintenant, nous entrons dans une ère où les Français ne font pas que déguster la cuisine japonaise, mais la préparent eux-mêmes.

     

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    FOODEX https://www.foodex.fr/

    LUPICIA CO., LTD.  http://www.lupicia.fr

    Takara Food’s CO., Ltd https://www.takara-jp.com/

    FUJI OIL HOLDINGS INC.  https://www.fujioilholdings.com/en/

    MURASE Co., Ltd.  https://www.murase-group.co.jp/

    Sumiya Bunjiro Brewery Co., Ltd.  http://www.mikawamirin.com/en/

    HAKKAISAN BREWERY CO., LTD.  https://www.hakkaisan.com/ *

     

    *pour acheter le produit, visitez GALERIE K PARIS https://galeriekparis.com/eshop/

    ÔYA Paris-boeuf japonais https://www.oyaparis.eu/

  • Dégustez une cuisine japonaise authentique et décontractée chez SHARI à Ginza

    06.October.2019 | FEATURES / FOOD

    SHARI est un restaurant situé au deuxième étage du Mitsui Garden Hotel Ginza-gochome, un nouvel hôtel ouvert depuis le 26 septembre situé à quelques minutes à pied des gares de Ginza et de Higashi-Ginza.

    Ce restaurant sert une cuisine authentique et raffinée de style japonais, ainsi que du bœuf de luxueux de Kobe, des plats au style gozen, avec plusieurs petits plats, et bien plus encore.

    Ginza est connu pour être un quartier cher et huppé de Tokyo. Les prix des restaurants y sont donc naturellement plutôt élevés mais chez SHARI, les clients peuvent déguster une bonne cuisine japonaise de manière plus décontractée et à des prix beaucoup plus abordables.

    Le restaurant contient une petite salle nommée Teppanyaki Mitaki, où vous pourrez savourer du bœuf de Kobé, un type de bœuf wagyu et l’un des trois meilleurs bœufs au Japon.

    SHARI Gozen – 3 000 ¥ (hors taxes)

    Voici le SHARI Gozen qui est servi durant le déjeuner. Cet ensemble comprend six petits bols contenant avec des aliments colorés. Ceci est parfait pour goûter à un grand nombre de spécialités en une fois !

    Il y a beaucoup de choix dans les variétés de viande et de poisson. Vous pourrez goûter au bœuf local, fondant en bouche, et des sashimis de poissons qui changent selon les saisons.

    Il y a également des plats frits, mijotés, de poissons froids, du riz, de la soupe miso, des desserts et bien plus encore. Peu importe ce que vous commandez, vous en ressortirez rassasié !

     

    Lady Gozen – 2 600 ¥ (hors taxes)

    Le Lady Gozen est pour vous si vous préférez le poisson et les légumes. Il y a deux variétés de sashimi et un poisson frit, ainsi qu’un assortiment de plats frits, une crème aux œufs salée et quatre plats d’accompagnement.

    Il est également accompagné de riz parfumé et de makis, ainsi que d’un dessert comme le SHARI Gozen.

    Le menu du dîner est composé de plats japonais, notamment de sashimis, tempuras, plats frits, etc. Il existe également diverses formules comme le Teppanyaki Mitaki, proposé à partir de 12 000 ¥, uniquement composé d’ingrédients de haute qualité.

     

    Shu – 1 000 ¥ (hors taxes)

    Voici un cocktail pour ceux qui veulent profiter de Tokyo de nuit. Il est inspiré des couleurs utilisées dans le théâtre kabuki ― un Bloody Mary combinant shichimi (poivre japonais), nihonshu (sahé) et jus de tomate. Le bord du verre est garni de shichimi pour une touche épicée et rafraîchissante lorsque vous le sirotez.

    Admirez également ce joli verre traditionnel.

     

    Des déjeuners abordables aux dîners composés d’ingrédients de première qualité, SHARI peut être apprécié toute la journée avec sa gamme de menus variée. Assurez-vous d’ aller pour sa cuisine japonaise authentique dans le quartier luxueux de Ginza.

     

     

    Writer:Sayuri Mizuno(MOSHI MOSHI NIPPON)

  • Le plat de riz aux oeufs le plus chic que vous ayez jamais disponible au Grand Hyatt Tokyo

    10.September.2019 | FOOD

    Le Grand Hyatt Tokyo, hôtel de luxe de la capitale, domine la ville animée de Tokyo. À partir du 1er octobre, le restaurant de l’hôtel, Shunbou, qui sert une cuisine de style japonais, présente une toute nouvelle portion exquise de TKG, ou tamago kake gohan (“œuf sur riz”).

    Le plat sera fait avec du shinmai, ou “nouveau riz”, qui fait référence au nouveau riz récolté pour l’année en cours. Il est garni d’un œuf très frais, une combinaison simple mais incroyablement délicieuse et appréciée des Japonais. Normalement, TKG s’arrête là, mais le Grand Hyatt Tokyo passe au niveau supérieur avec un nappage de caviar pour créer l’œuf le plus exquis que l’on ait jamais vu sur du riz.

     

    Le riz : le meilleur des meilleurs

    Le riz servi à l’hôtel est récolté dans la ville de Nanyō, dans la préfecture de Yamagata. C’est un type de riz spécial appelé Tsuyahime, et l’hôtel sélectionne rigoureusement le riz récolté, en s’assurant qu’il sert le meilleur riz possible aux clients. Ce riz est servi uniquement au Grand Hyatt Tokyo, ce qui le rend encore plus spécial.

     

    Nanyō est doté d’un sol riche. Les exploitations agricoles utilisent des engrais organiques depuis plus de 10 ans, ce qui signifie que leurs belles récoltes sont réduites en produits chimiques agricoles et en engrais chimiques, contrairement à de nombreuses autres exploitations agricoles. La valeur de la qualité gustative du riz a également été évaluée à plus de 80, bien plus élevée que le riz moyen.

     

    Caviar d’esturgeon

    Le caviar utilisé dans ce plat provient de l’esturgeon de la préfecture de Kagawa. Tout est pris en compte, de la nourriture aux températures de l’eau pour les poissons, à partir de leur plus jeune âge. Ils sont assaisonnés avec la quantité de sel idéale et ne contiennent aucun additif, ce qui leur confère un goût et une texture crémeuse et veloutée qui ne fondent que dans la bouche au moment où elle se propage sur la langue.

     

    Jaune d’oeuf supérieur

    Les œufs servis sur le riz proviennent de l’un des meilleurs magasins spécialisés dans les œufs à Kyoto. Pour assurer un œuf parfait, le magasin prend grand soin du fourrage et de l’eau donnée aux poules dès leur plus jeune âge. Cela supprime l’odeur crue désagréable caractéristique des œufs et constitue également un mode de vie plus sain pour les poulets eux-mêmes. Les œufs regorgent également d’éléments nutritifs qui font défaut chez les hommes d’aujourd’hui, notamment les vitamines, le DHA, la niacine, etc.

     

    Pour couronner le tout, l’hôtel a créé son propre mélange original de sauce soja dashi rien que pour ce plat. Allez vite le goûter !

  • Visitez des foyers japonais et apprenez à cuisiner des plats japonais authentiques avec airKitchen

    30.May.2019 | FOOD

    airKitchen est un service en ligne qui gagne en popularité en invitant les étrangers voyageant au Japon à expérimenter la cuisine à domicile.

    Le nombre de visiteurs étrangers au Japon a augmenté ces dernières années et, à l’approche des Jeux olympiques de Tokyo, ce nombre devrait continuer à augmenter. Les voyageurs qui se rendent dans le pays sont donc de plus en plus à vouloir avoir la vraie expérience de la vie japonaise qu’à vouloir acheter des produits japonais. Ce changement a été compris par le gouvernement japonais et les entreprises qui s’efforcent d’offrir davantage de contenu basé sur l’expérience aux étrangers.

     

    C’est notamment le cas du service de plateforme en ligne airKitchen, dont la popularité ne cesse de croître. En utilisant le site Web, les étrangers peuvent choisir parmi une longue liste d’hôtes japonais qui leur apprendront comment préparer de nombreux plats japonais dans leur propre maison. Les réservations et le paiement peuvent être effectués via le site Web officiel de la société. airKitchen a été lancé en avril 2018 et en avril dernier, il comptait déjà plus de 4 000 utilisateurs.

    La popularité d’airKitchen permet de satisfaire le désir des visiteurs étrangers de faire l’expérience de la vie quotidienne des Japonais. Ils cuisineront des plats japonais authentiques dans une cuisine commune de style japonais. En 2013, le Washoku (“cuisine japonaise”) a été inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. L’attrait de la cuisine japonaise est à la hausse et devrait devenir encore plus populaire.

     

    vidéo d’introduction d’airKitchen

    Le gyoza, le bento et le sushi figurent parmi les plats les plus populaires enseignés sur le site Web. Un total de trois heures est alloué pour chaque expérience, incluant le temps de cuisson et de repas. Le prix de chaque service varie, mais la moyenne est de 5 000 yen par personne. Le plus grand nombre de personnes vient d’Europe et d’Australie et va du couple à la famille.

     

    Si vous voyagez au Japon, pourquoi ne pas réserver vous-même avec airKitchen et goûter à la vie quotidienne d’un foyer japonais?

  • Nouveaux bonbons de Rilakkuma et Kiiroitori de Tabemas dans le Lawson de tout le Japon

    20.May.2019 | FOOD

    La série de confiseries japonaises inspirée par des personnages célèbres, Tabemas, a révélé quels seraient leurs prochains produits et sur quels personnages ils seraient basés. Ces personnages seront Rilakkuma et Kiiroitori. Ils seront mis en vente dans tous les Lawson au Japon à compter du 21 mai 2019.

     

    Les deux personnages sont fabriqués à partir d’un type de pâte que l’on appelle “nerikiri”qui est utilisé pour des confiseries japonaises traditionnelles. Ses petites mains, ses oreilles et ses traits du visage ont été soigneusement fait pour être la chose la plus adorable du monde. Tabemas décrit ses produits comme étant trop mignons pour être mangés.

    Rilakkuma est rempli de pâte de haricots rouges aromatisée au pudding japonais, tandis que Kiiroitori est rempli de pâte de haricots rouges parfumée au chocolat. Les deux confiseries sont fabriqués en utilisant des couleurs naturelles et ont une texture humide comme les autres wagashi. Ils contiennent également des pois chiches qui sont devenus très populaires au Japon pour leur haute valeur nutritionnelle. C’est donc des confiseries parfaites pour les personnes qui font attention à leurs santé.

     

    Ces confiseries sont trop bonnes et mignonnes alors soyez sûr de les essayer!

     

    ©2019 San-X Co., Ltd. All Rights Reserved.

  • Un magasin spécialisé dans le thé, Tokyo Saryo rouvre son stand d’Ochazuke pour un temps limité !

    26.April.2019 | FOOD

    Tokyo Saryo a été le premier magasin spécialisé dans le thé au goutte-à-goutte au monde. Cette année, ils célèbrent la première récolte de thé de la saison avec la réouverture du stand Ochazuke Tokyo Saryo. Le stand d’Ochazuke, un bouillon de riz et de thé, a connu un franc succès l’année dernière. Il sera ouvert cette année pour une période de trois mois, du mercredi 24 avril au mercredi 31 juillet.

     

    Ochazuke est un plat japonais que chaque Japonais doit avoir mangé au moins une fois dans sa vie. Pour beaucoup, il fait office de petit-déjeuner léger que vous pouvez préparer simplement à la maison car c’est juste du thé vert versé sur du riz cuit. Mais c’est délicieux ! Cependant, au cours des dernières années, le remplacement du thé vert par du bouillon est devenu la forme la plus populaire de ce petit-déjeuner. Les Ochazuke espèrent encourager les gens à utiliser plus souvent le thé vert dans leurs ochazuke au quotidien en créant un plat original qui dévoile véritablement la saveur du thé vert. La recette a été spécialement conçue pour s’intégrer au style de vie moderne et quotidien.

    Cet ochazuke est parsemé de beaucoup de feuilles de thé vert pour que vous puissiez vraiment profiter du thé “à manger” ! Les feuilles de thé à la germination douce qui ressemblent à l’apparence d’algues nori sont recueillies et moulues en une poudre appelée tencha, étape précédent la confection du matcha. Versez de l’eau sur la poudre de thé vert pour libérer tout son parfum !

    Ochazuke original de la maison de thé : anguille ¥ 500 / saumon ¥ 500 coquille

    Saint-Jacques ¥ 500  / Prune ¥ 500 (* taxes incluses dans les prix indiqués)

     

    Vous pouvez également ajouter de l’huile d’olive à votre plat pour seulement 50 ¥.

     

    Commandez du thé goutte à goutte Tokyo Saryo en plus de votre commande (+ 150 ¥) et vous recevrez le premier thé de la saison qui utilise des feuilles de thé fraîchement récoltées à Kagoshima. Les feuilles ont été recueillies le 7 avril 2019 et une recette spéciale est utilisée pour préparer ce thé.

     

    Ils ne servent pas que du thé ici ! Vous pouvez aussi avoir du “dashi”, un bouilon qui constitue un arôme de base important. Ceci est fait en combinant des flocons de poisson de bonite et du varech kombu provenant de Makurazaki pour produire une saveur de haute qualité et délicieuse.

    Vous pouvez également choisir d’ajouter un nappage de Nicomaru Genmai qui est fabriqué à partir de riz brun. Ceci est très populaire parmi les adultes car il ajoute un parfum luxueux à votre repas.

    Vous pouvez manger à l’intérieur ou le prendre à emporter pour le même prix. Chaque jour, les ventes se termineront quand le riz sera à court, alors allez-y le plus vite possible!

  • En savoir plus sur les “îles Oki” ! La préfecture de Shimane ouvre “l’Institut de recherche fun de Oki”

    15.March.2019 | FEATURES / SPOT

    Le 2 mars 2019, la mannequin Shibata Saki et neuf personnes se sont réunies pour constituer des carnets de route pour visiter les Îles de la préfecture de Shimane avec le projet « Oki no okiniiri kenkyûjo » (“l’Institut de recherche fun de Oki”).

    Les îles Oki comptent quatre îles habitées, accessibles en ferry ou en bateau à grande vitesse.

    Cet archipel est né grâce à une activité volcanique vieille d’environ 6 millions d’années. C’est pourquoi ces îles sont reconnues comme “Géoparc mondial de l’UNESCO” car elles possèdent un patrimoine terrestre précieux, une flore et une faune uniques.

    Là, vous pourrez découvrir une culture et un paysage différent de ceux que l’on peut voir à travers le Japon !

    De plus, il est situé pile au milieu de la côte du côté de la mer du Japon. C’est pourquoi il était au centre des échanges commerciaux du pays auparavant.

    Saki a visité ces îles Oki pour la première fois l’année dernière. En voyant ces majestueuses falaises colorées faites de magma volcanique, elle a pu ressentir la force de la nature qui a créé ce paysage grâce aux vagues et au vent.

     

    En réponse à la demande de la communauté locale qui aimerait transmettre les merveilles des îles Oki au monde entier, Saki, charmée par le lieu, a créé le fameux “institut de recherche fun de Oki”. Tout en partageant son expérience avec autres membres, elles ont réfléchi ensemble à un plan de voyage pour faire visiter les îles.

     

    Le projet a débuté par une présentation en slides du leader qui a transmis ses émotions ressenties pendant le précédent voyage, qu’elle aimerait transmettre aux futurs visiteurs.

    Tout le monde est emballé. Nous retenons surtout que le charme d’Oki est surtout la force vive de la nature, et la douceur des habitants.

    Après ça, les membres du Conseil mondial de la promotion du géoparc d’Oki nous ont donné des connaissances précieuses sur l’archipel.

    Le géoparc détient une géologie et une topographie précieuses qui pourrait servir à l’éducation, la région, et l’économie touristique locale.

    Il existe actuellement neuf géoparcs mondiaux de l’UNESCO au Japon, dont les îles Oki. Les vidéos du paysage prises par le drone sont impressionnantes !

    Ce serait génial d’aller les voir de ses propres yeux !

     

    Ainsi débute l’élaboration des carnets de voyage. Chacun écrit ce qu’il aimerait voir ou créer sur l’île.

    Tout le monde choisi ses activités en fonction des ressources disponibles. Les membres du Conseil mondial du Géoparc sont là pour répondre aux questions : “Peut-on y pêcher des sèches ?” “Et du parachutisme ?!”.

    Lorsque l’on regarde ce qu’ont écrit les filles… Toutes veulent manger du bœuf d’Oki ! Après tout, les délicieux mets locaux sont essentiels pour un voyage.

    Et voilà ! Le carnet de route est prêt pour vous faire découvrir les merveilles de l’archipel !

    A présent, place aux spécialités locales. Saki nous fait part encore une fois de ses expériences vécues.

    La célèbre huitre rocheuse « Haruka » est la spécialité d’Oki. C’est une marque d’huîtres respectant des normes strictes et cultivée dans la magnifique mer de Nakanoshima (Aishicho). En outre, j’ai apprécié le goût d’Oki, comme les boulettes de riz Sazae, la soupe miso aux algues, les crackers de saké, le kojoyu miso et le thé fukugi.

    obsidienne

    Biscuit au sel d’algue (Oki Kisen Shoji Co., Ltd.) / Crackers saké (Brasserie Oki Sake) / Savon de saké (jimono) / Brume Fukugi (jimono) / Thé Fukugi (maison Amacho Sakura)

    À la fin de l’événement, les membres du Conseil de promotion du géoparc ont offert un petit souvenir : un porte-clé en pierre obsidienne. L’événement où vous il est possible de profiter des merveilles des îles Oki tout en restant à Tokyo s’est terminé de bonne humeur.

    Bonne nouvelle pour tous ceux qui s’intéressent aux îles Oki : vous pouvez acheter les fameuses spécialités Oki et des savons au saké dans le magasin “Ritô Kitchen Nihonbashi” où l’événement a été organisé !

     

    Profitez-en car ces produits sont rares et précieux !

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